LA DERNIÈRE ROSE DE L’ÉTÉ, par Lucas Harari (Sarbacane, 2020)
Aspirant à devenir écrivain, Léo vit à Paris où en attendant le succès, il travaille dans une laverie automatique. Un jour, il retrouve par hasard un de ses cousins qui lui propose de garder sa maison de vacances pendant des travaux. Il s’y installe donc le temp de l’été, dans un endroit où les voitures de luxe côtoient de somptueuses villas. Cependant, ce paysage idyllique s’avère trompeur lorsque des cadavres sont retrouvés près du rivage… Léo quant à lui profite du décor, rencontrant même ses voisins, dont fait partie la jeune et capricieuse Rose…
Voici aujourd’hui sur ce blog un album vers lequel je ne serais pas forcément allée sans la BD de la semaine et ses tentatrices qui proposent chaque semaine des albums très variés… La couverture ne m’inspirait pas, et parfois il n’en faut pas plus pour m’arrêter là. Mais les avis des lecteurs me font aussi souvent l’effet inverse et j’ai donc emprunté cet album, qui est déjà un sacré objet dans son genre. En effet, ce livre est de grand format, épais et avec un dos en tissu, alors il n’a pas été forcément simple à lire dans tous les endroits.
Graphiquement ce fut pour moi à la fois déroutant et classique : le trait m’a fait penser à d’autres auteurs déjà lus (sans pouvoir dire précisément lesquels), et les personnages sont bien reconnaissables, ce qui est plus confortable à la lecture. C’est juste parfois le découpage qui m’a décontenancée, car les cases des gaufriers ne sont pas séparées, donc la lecture a été moins aisée pour moi. Il y a un côté gentiment désuet, des années 1950 ou 1970… L’histoire se lit agréablement, et on sent la chaleur de l’été au bord de la mer. Les personnages ne me sont pas apparus spécialement sympathiques, surtout celui de Rose qui est assez énigmatique, car ses affirmations changent selon le moment. On est plus là dans une histoire d’apparences qui prennent le dessus sur la vraie personnalité… Même si je ne me suis pas attachée aux personnages, j’ai passé une agréable lecture avec cette histoire estivale. Je n’en garderai sans doute pas un souvenir très mémorable, mais au moins, ce fut une bonne lecture sur le moment…
A partir de 15 ans selon l@BD.
Quelques planches à voir sur Bdgest.
On en parle sur les blogs : Sur mes brizées, Bibliza, Minimouth lit, La case de l’oncle Will…
Cet album participe à , et ce mercredi, rendez-vous chez Noukette dans sa bibliothèque pour retrouver tous les billets des bulleurs et bulleuses !
C’est dommage ! Je passe, …
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Comme elle me tente malgré tout, j’opterai pour un emprunt ! Cela me semble être la bonne alternative.
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Je l’avais oublié cet album, il avait l’air intéressant. Je note ton bémol mais je crois que je le lirai quand même à l’occasion.
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pas emballée au premier abord mais si je la croise en biblio je jetterai un oeil!
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Intriguant malgré tout. 🙂
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C’est un peu mon cas. Pour l’instant je m’arrête à la couverture et je n’ai pas forcément envie d’aller au delà. Un tort peut-être…
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Pourquoi pas, plus pour le côté polar que le côté sentimental 😉
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pas forcément tentée non pus!
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J’avais lu L’aimant de cet auteur qui ne m’a pas marqué particulièrement. Pas sûre de me laisser tenter même pour un emprunt.
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Le côté un peu policier ne me tente pas trop .
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Je suis ton avis et n’en ferai pas une priorité donc !
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Je ne sais pas trop quoi en penser. Je verrai à l’occasion si je tombe dessus.
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mouais, du coup je passe mon tour aussi 😀
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Pas anecdotique mais presque on dirait 😉
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J’aime bien la couverture, au dessin désuet. Ça m’intrigue.
Et je te rejoins, que de découvertes en ce rdv du mercredi 🙂
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